Le constat est amer car il confirme ce que le SNUEP et la FSU avaient anticipé dès l’annonce des mesures par l’ex-ministre déléguée C. Grandjean et qui aurait pu être évité : des élèves moins bien préparé·es pour le baccalauréat, les mois de mai et juin perdus, celui d’avril en partie
https://reims.snuep.fr/wp-content/uploads/2025/05/SNUEP_N146_mai-juinl2025.pdf